GRAND THEFT AUTO : VICE CITY
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Type : |
Date de sortie
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Jeu complet |
8 Novembre 2002 |
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Genre : |
Multijoueur : |
Action / Course |
Non |
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Plateforme : |
Editeur : |
Playstation 2 |
Rockstar Studios |
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Config : |
Développeur : |
PlayStation 2 |
Rockstar Studios |
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Bande son
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Grand Theft Auto: Vice City
Vol. 1 - V-Rock [SOUNDTRACK]
29 octobre 2002
Sony |
01. DJ Lazlow Intro
02. Judas Priest - You've Got Another Thing Comin'
03. Motley Crue - Too Young to Fall in Love
04. Megadeth - Peace Sells
05. Rockstar's Love Fist - Dangerous Bastard
06. Autograph - Turn Up The Radio
07. DJ Lazlow Halftime
08. Twisted Sister - I Wanna Rock
09. Ozzy Osbourne - Bark At The Moon
10. Anthrax - Madhouse
11. Iron Maiden - 2 Minutes To Midnight
12. Slayer - Raining Blood
13. Tesla - Cumin Atcha Live
14. David Lee Roth - Yankee Rose
15. DJ Lazlow Outro
16. Exploder (Commercial Skit)
17. Thor (Commercial Skit) |
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Après
le GTA III de l’année dernière, la firme Rockstar
revient sur le devant avec une suite à ce mythique jeu, baptisé
Grand Theft Auto : Vice City. Faisant frémir d’impatience
des milliers de joueurs depuis plusieurs mois, c’est donc avec un
certain enthousiasme que l’on se met derrière sa console
de jeu. |
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Avant de ce lancer dans l’aventure, rappelons un peu le concept
de cette série complètement immoral, mélangeant
scène de bagnole et scène de shoot à pied. Dans
ce nouvel épisode, vous êtes dans la peau de Tommy Vercetti
et devrez réaliser les nombreuses missions données par
votre boss. Pour ceci, vous pourrez exécuter le métier
si frémissant de gangster : voler des voitures, tuer des gens,
achetez de nouvelles armes à feu... Bref, toutes les choses qu’il
est strictement déconseillé de réaliser dans la
vraie vie !
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Vice City se déroule dans les années 80' et relate donc
l’histoire de Tommy. Travaillant pour le compte de son boss Sonny
Forelli, Tommy est chargé d’une banale petite affaire : superviser
l’achat d’une grosse valise de coke. Hélas pour vous,
ça tourne mal, et vous perdez en même temps la coke et l’argent.
Furieux mais conscient de votre talent, M. Forelli vous donne une chance
de vous racheter. Vous devrez donc, comme vous vous en doutez, récupérer
la marchandise. Au cours de l’aventure, vous rencontrerez donc de
nombreux personnages annexes qui vous proposeront de faire des missions
pour ces derniers, quasiment toujours illégales.
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Les développeurs de Rockstar North se sont surpassés.
En effet, la ville, qui se veut deux fois et demi plus grande que celle
de GTA III, est entièrement modélisée en 3D, et
bien en plus ! On notera peut-être des couleurs un peu trop «
flashies », et des personnages moyennement faits (mais quand on
regarde le nombre de personnages à l’écran, on pardonnera
les développeurs...). Les véhicules, au nombre de 120
(50 dans GTA III), sont également bien modélisés,
et les carrosseries se péteront au fil des gamelles. Mais la
plus grande nouveauté de GTA : Vice City provient certainement
de l’apparition des motos. Faire des wheeling de la mort, zigzager
entre les voitures, avoir les cheveux au vent. Ce qui fait également
la force de Vice City, c’est sa bande-son. En effet, l’autoradio
renaît encore plus fort et propose une dizaine d’heures
de musiques non-stop classé par genre, contre 3 heures pour GTA
III. Parfois, on n’a même envie de piquer une voiture juste
pour écouter ses musiques. Entre Michael Jackson, Judas Priest,
Toto, Iron Maiden, Lionel Ritchie ou encore Alcatrazz, on est vraiment
surpris de toute cette brochette de chanteurs. De plus, les doublages
en anglais sont de très bonne facture : Ray Liotta double Tommy
Vercetti, Tom Sizemore double Sonny Forelli, Jenna Jameson double Candy
Suxxx, la star du porno. Impressionnant. Aussi bien au niveau des graphismes
que de la bande-son, Vice City assure grave, et ce grâce aux talentueux
développeurs de Rockstar North.

Affiche d'Eddie que l'on peut voir sur la version PC
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Du côté de la durée de vie, GTA : Vice City s’en
sort encore une fois très bien avec une centaine de missions
à sa disposition, contre 73 dans GTA III. On pourrait donc penser
qu’une petite lassitude s’installerait au bout d’une
dizaine missions, mais que nenni. Les missions sont en effet très
variés et assurent une petite quarantaine d’heures, sans
compter les petites missions annexes proposant de devenir flic, pompier,
conducteur de taxi et même de pizzaiolo (nouveauté de Vice
City), qui viennent agréablement agrémenter le tout, et
même la recherche des 100 paquets cachés. On notera également
l’apparition des avions et des hélicoptères télécommandés,
ce qui diversifie encore un peu le gameplay. Vous l’aurez donc
compris à travers ces lignes, GTA : Vice City est un jeu très
long où on ne s’ennuie jamais. Mais que demande le peuple
alors ?
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Que
dire de GTA : Vice City ? C’est une bombe, un point c’est
tout. Avec ses très bon graphismes, sa bande-son époustouflante,
sa durée de vie énorme et son fun toujours présent,
le jeu de Rockstar Games a tenu toutes ses promesses. On lui reprochera
peut être sa difficulté un peu trop élevé dans
certaines missions, ainsi qu’un mode 50 Hz optimisé qui fait
perdre à Vice City un peu de sa fluidité, mais rien de bien
méchant. |
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